Une pièce
magique,
magnifique,
profonde,
fine conte, raconte Sylvia.
Et nous, charmés, impressionnés, profondément touchés par cette grande petite dame qui voulait juste écrire, suivre sa trajectoire, être comprise…
« Ce que je redoute le plus, je crois, c’est la mort de l’imagination. Quad le ciel dehors, se contente d’être rose, et les toits des maisons noirs ; cet esprit photographique qui, paradoxalement, dit la vérité, mais la vérité vaine, sur le monde. »
Carnets intimes – Sylvia Plath